À propos de cet événement
Au sein d'une même entreprise, la vocation d'un dispositif d'épargne salariale est de profiter à la majorité des salariés. A défaut, le dispositif creuse plus encore les inégalités.
Quelles sont donc les conditions nécessaires pour que l'épargne salariale soit la plus accessible possible ?
Les leviers incitatifs aux versements, principalement alimentés par une partie de l'intéressement et de la participation, vont dépendre de la politique d'abondement négociée. Celle-ci peut plus où moins favoriser les plus petits salaires.
Mais les incitations financières ne font pas tout. Surtout avec des salariés français dont la culture financière est plus faible que dans les pays anglo saxons. Il faut dès lors prendre le temps d'expliquer des dispositifs souvent trés modulaires. Les rôles de l'encadrement et des représentants des salariés sont ici essentiels. Ce sont des gages de confiance pour épargner dans le cadre de son entreprise.
Les questions des salariés sont nombreuses pour optimiser leur placement. Si les représentants des salariés et les directions sont dans leur rôle sur le large terrain des informations pratiques, ils le sont beaucoup moins dès lors qu'il s'agit de verser dans le conseil en placements financiers. Quelle place d'ailleurs à un conseil financier individualisé assuré par des professionnels dans un cadre collectif ?
Avec les interventions de :
- Caroline Van Der Puijl, Responsable commerciale épargne et retraite d'Axa santé et collectives
- Sophie Mandelbaum, Chargée des relations extérieures / partenaires sociaux, pour Axa santé et collectives
- Bruno Henri, Délégué général UNSA chez TotalEnergies
- François Soenen, Délégué syndical CFTC chez Schneider Electric
- Bilel Herzi, Délégué syndical CFDT chez Leroy Merlin
