Un élu qui prend ses heures de délégation, participe aux réunions du CSE ou assiste un salarié n'est pas un salarié absent, qui coute à l'entreprise. C'est le message que diffusent des directions. Pas toutes.
Celles que le font intègrent les temps de représentation des élus dans l'organisation du travail et dans les budgets. De quoi assurer l'équité entre les salariés, élus et non élus.
Comment assurer les conditions pour que les élus non permanents :
- ne s'épuisent pas à porter leur mandat sur leur temps personnel, du fait de la pression qu'ils ressentent quand ils utilisent les heures de délégation dont ils ont droit
- puissent faire accepter que le temps de représentation ne soit pas toujours planifiable car conditionnée aux aléas de la vie sociale de l'entreprise.
Quelle place à la confiance ?
Pour en discuter :
-
Olivier Collet, ex élu et formateur chez Sextant Expertise
-
Virginie Linard, DRH UpCoop
-
Valérie Delacourt, Coordinatrice CFDT au Crédit Agricole
-
Benjamin Piraud, Délégué Syndical Central Adjoint CFTC chez Worldline
-
Xavier Burot, Secrétaire fédéral CGT Bureaux d'études techniques et de conseil