À propos de cet événement
Dans un an, les entreprises de la métallurgie devront avoir positionné leurs emplois sur la nouvelle grille de classification à 18 niveaux à travers six critères classants.
Si la cotation des emplois est une prérogative unilatérale de l'employeur, les signataires de la nouvelle convention collective de la métallurgie ont tenu à ce que les entreprises de la branche impliquent les représentants des salariés le plus en amont possible pour partager un langage commun et suivre la déclinaison.
Quid de la réalité de l'ouverture du dialogue social pour assurer une déclinaison consensuelle de la classification dans les entreprises ? D'où l'intérêt de se donner les moyens de suivre la déclinaison du projet lors des informations-consultations récurrentes pour que "l'arbre ne cache pas la forêt".
Pour éviter un effet boomerang, partir du bon pied sur la classification est en effet essentiel car c'est le socle qui va servir ensuite a négocier une GEPP revue et corrigée mais aussi à revoir le sujet trés sensible des critères d'évaluation des salariés qui peut devenir un nid à contentieux.
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